Etude scientifique : Filtres Respur®

L’équipe australienne du Professeur T.J O’meara, spécialiste dans le domaine de l’asthme et de l’allergie au Woolcock Institute of Medical Research de Sydney a démontré scientifiquement l’intérêt des filtres respiratoires.
(Paru dans la revue Allergy de l’European Journal of Allergy and Clinical Immunology EAACI, Académie européenne d’allergie ).

Etude clinique : Filtres respiratoires et allergies

Le professeur T.J. O’MEARA, chercheur dans le domaine de l’asthme et de l’allergie au Woolcock Institute of Medical Research de Sydney, a réalisé avec son équipe une étude sur les filtres intra-nasaux.

Des tests ont été pratiqués sur 20 patients allergiques à l’ambroisie afin de déterminer si des filtres intra-nasaux permettaient de réduire les symptômes de la rhinite allergique aux pollens lors de fortes expositions polliniques.

Les résultats de l’étude ont été présentés lors d’une conférence sur l’allergie à l’European Academy of Allergy à Amsterdam du 12 au 16 Juin 2004.
Quelques résultats marquants (l’enquête complète se trouve en Annexe 1)

  • Les participants ont noté une baisse significative de leurs symptômes comme les reniflements, éternuements, nez ou yeux qui coulent, gorge, nez et yeux qui démangent …
  • Les effets les plus marquants ont cependant été relevés au niveau du nez. Dans le groupe de personnes portant des filtres nasaux, les reniflements se sont réduits de 56%. Parallèlement, dans le groupe utilisant un placebo, les reniflements ont cru de 126% durant des conditions identiques d’exposition au pollen.
  • Après 1 heure d’exposition à un haut niveau de pollen dont 20 min dans un champ d’ambroisie,  seulement 15% des personnes portant les filtres nasaux ont vu leurs symptômes apparaître contre 63% chez les personnes qui ne portaient pas les capsules nasales. Ce résultat est très positif, car inférieur à celui observé sous médication (antihistaminiques)
  • Il a été démontré que les capsules retiennent  98% des pollens inhalés.
  • 90% des participants à l’étude souhaitent réutiliser des filtres nasaux.

Conclusions du professeur T.J. O’MEARA

 

« Les filtres respiratoires me semblent être des dispositifs intéressants à proposer aux patients allergiques qui doivent s’exposer à de fortes concentrations d’allergènes pendant un temps court ».
Les résultats démontrent qu’ils sont capables d’éviter les rhinites pendant les phases d’exposition aiguës aux allergènes.
Les filtres nasaux ont également un rôle de prévention lors d’exposition à la poussière de maison (acariens…) où la majorité des allergènes sont véhiculés par des particules de taille inférieure à 10μm de diamètre.
Les filtres respiratoires sont donc à utiliser en cas d’allergies aux pollens, aux poussières de toutes sortes et aux particules animales.

Efficacité des Filtres Respur®

1 %
Particules PM 2,5

Jusqu’à 75% d’efficacité pour les particules inférieures à 2,5 microns

1 %
Particules PM 10

Jusqu’à 98% d’efficacité pour les particules inférieures à 10 microns

RESPUR utilise le principe simple de la purification de l’air. Les filtres sont traités au charbon actif* reconnu pour sa capacité d’adsorption. RESPUR filtre l’air et agit comme une barrière empêchant une grande partie des microparticules de la taille du micromètre (µm) de pénétrer dans les voies respiratoires. L’efficacité s’accroit pour des particules allant jusqu’à 10 microns (PM2.5) et (PM10).

Informations sur la taille des particules

Les particules de la taille du micromètre (µm) ne sont pas visibles à l’œil nu.

  • Les « particules PM10 », de diamètre aérodynamique inférieur à 10 µm (6 à 8 fois plus petites que
    l’épaisseur d’un cheveu ou de la taille d’une cellule)
    pénètrent dans l’appareil respiratoire.
  • Les « particules PM2,5 », de diamètre aérodynamique inférieur à 2,5 µm (telles les bactéries) peuvent se loger dans les ramifications les plus profondes des voies
    respiratoires (alvéoles).

Qu'est-ce que le charbon actif végétal ?

Le charbon actif est un matériau carboné poreux d’origine végétale ayant une grande capacité d’adsorption. Il est utilisé pour la purification de l’air (purificateurs d’air), de l’eau, contre les mauvaises odeurs, les micro-organismes et la plupart des polluants atmosphériques.