Sport et pollution : forme et bien-être avec Respur®
La pollution n’est pas un facteur déclencheur d’asthme ou d’allergie à elle seule, mais est tout de même un facteur aggravant. Ainsi, les émissions diesel favorisent la sensibilisation à des allergènes de diverses façons : d’une part, en modifiant le grain de pollen et en facilitant la pénétration pulmonaire d’allergènes adsorbés sur les particules diesel et d’autre part, en agissant sur le système immunitaire (augmentation de la production d’IgE et de certaines cytokines).
De nombreuses études permettent d’affirmer que la pollution à des effets néfastes sur la santé. Selon l’O.M.S l’organisation mondiale de la santé, 3 millions de personnes meurent chaque année sous l’effet de la pollution atmosphérique. Les polluants de différentes natures, gaz ou particules ont des propriétés irritantes et sont responsables d’une baisse de la capacité respiratoire.
La respiration, le sport et la relaxation
La respiration joue un rôle vital dans l’organisme. Respirer par le nez est naturel et d’ailleurs conseillé dans les techniques de respiration (yoga). En respirant aussi par le nez pendant l’effort, il est peu probable de respirer trop rapidement, d’où une respiration plus régulière.
Respur avec ou sans filtres permet d’augmenter sensiblement la prise d’air par le nez, et apporte un plus lors des exercices de détente et de relaxation.
Le sport et la pollution
Le sport, est bon pour la santé, et il est même fortement recommandé de pratiquer un sport régulièrement tout au long de sa vie. Les principaux effets de la pollution s’exercent sur l’appareil respiratoire. Ozone, dioxyde d’azote, dioxyde de soufre… sont des gaz agressifs pour les muqueuses respiratoires car ils atteignent facilement la périphérie de l’arbre pulmonaire.
En provoquant une inflammation de la muqueuse bronchique, ils favorisent une hyperréactivité bronchique, la sensibilité aux allergènes et aux infections virales.
Le dioxyde de soufre provoque de la toux et des essoufflements. Il aggrave ainsi l’asthme et la bronchite chronique.
L’ozone est connu pour induire une toux nuisible aux enfants et aux asthmatiques.
Quant au dioxyde d’azote, il amplifie les symptômes de l’asthme et la sensibilité aux allergènes et aux infections.
Le sport accroît les effets nocifs de la pollution, en cas de pratique intense ou soutenue car l’inhalation des polluants est beaucoup plus importante et profonde, il est donc bon d’éviter au maximum les situations où le degré de pollution est élevé.
